7 astuces pour mal gérer sa vie


Tu veux être sûr de te plaindre de ta vie ? Tourner en rond, être insatisfait, voire déprimé ? Suis attentivement ces sages conseils. Résultats garantis !


Réussir à gérer sa vie ne dépend pas seulement de techniques comme les listes de choses à faire, etc. Il s'agit aussi d'arriver à atteindre un équilibre : équilibre de vie mais aussi équilibre de la personne. Voici une liste des sept choses à faire pour ne pas être une personne équilibrée :


1. Ignore ta santé

Ne dors pas suffisamment ; ne prends pas le temps de faire de l'exercice ; nemange pas équilibré ; reste en ville. Ta résistance diminuera et tu seras plus susceptible d'attraper tous les petits rhumes et autres virus qui traînent, qui te donneront – oh joie !- des tas d'occasions d'être en congé maladie. Surtout, tu réussiras moins tes études et te sentiras au bout du compte moins épanoui(e). Notre rythme de vie stressant, rapide, nous fatigue et diminue nos forces et est responsable dans certains cas de maladies et de décès. As-tu remarqué que lorsque quelqu'un achète une nouvelle voiture, il l'amène à toutes les visites de maintenance, il met la quantité nécessaire d'essence dans le réservoir, il la garde (pour certains !) propre. Qu'en est-il des hommes ?

2. Ne prends pas le temps de voir tes amis et ta famille


Prenons l'exemple d'un écureuil, occupé à ramasser des noix et à les amasser d'un côté d'un tronc d'arbre, alors que de l'autre côté une personne fait un trou pour récupérer toutes les noix. L'écureuil est si occupé à travailler qu'il ne se rend même pas compte de la menace qui pèse sur lui. En moyenne, une personne en activité passe moins de deux minutes par jour à discuter de façon constructive avec son partenaire, et moins de trente secondes à parler avec un membre de sa famille ou des amis. Dans nos grandes villes, la moitié des mariages finit en divorce et la première des raisons est un manque de communication. Si tu es étudiant, tu as le temps de voir ta famille et d'être avec des amis. Mais le rythme des études fait que vite chacun est très occupé et voilà : la mauvaise habitude est prise, qui va durer dans la vie active. Surtout, si tu veux finir mal, ne prends pas le temps de vivre, cours sans cesse d'une activité à une autre, ne prends pas le temps de te poser ni de réfléchir à ta vie.

3. Ne t'occupe pas de tes finances

Si tu es étudiant, pourquoi se mettre à faire des économies ? Ta famille ou des bourses subviennent à tes besoins de toute façon. Le « hic », c'est que beaucoup trop de personnes se retrouvent dans leur vie avec un déficit financier ou dépendentd'une façon ou d'une autre des aides du gouvernement ou de leur famille. Les bonnes habitudes s'acquièrent le plus tôt possible. Il est très difficile de changer après. Et combien d'entre nous arriveront à vivre la vie qu'ils veulent ? Il est plus fréquent de vivre sa vie parce qu'il le faut (d'une certaine façon).

4. Garde-toi de te développer intellectuellement


Tu révises, tu travailles pour avoir ton diplôme ou ton année. Et après ? Tu n'auras peut-être plus envie de mettre les pieds dans une bibliothèque pour y chercher un livre. Tu auras à peine le temps de souffler si tu travailles (quoique les 35 H changent les choses). La télé est si facile à regarder ! Les trois-quarts des livres en librairie sont achetés par 5% de la population. Les autres les achètent pour les offrir ; ils ne les lisent pas. Contente-toi de ce que tu sais déjà, en espérant que tu as rempli suffisamment ton réservoir intellectuel pour garder tes connaissances toute ta vie : les responsables politiques et les médias t'en sauront gré. Il est plus facile de gouverner des ignares que des intellectuels.

5. Laisse le monde décider de tes choix


Suis les conseils des médias et de la masse, sur ce que tu devrais faire dans ta vie, même si tu n'es pas d'accord avec leur façon de vivre ou ce qu'ils font. Sois toujours conscient de ce que pourraient penser les autres de toi. Cherche toujours à avoir l'approbation des autres et agis en conséquence. Sois rassuré par le fait que s'il manque dans ta vie un « leader », une personne qui déciderait de la façon la plus facile pour toi de t'occuper, quelqu'un viendra vite prendre cette place et te dire ce qu'il y a à faire. Sais-tu que si les gens pardonnaient ou se savaient pardonnés, s'ils agissaient selon leur conscience au lieu de suivre le mouvement, les hôpitaux psychiatriques et les prisons se désempliraient à vue d'œil et les consommations d'anxiolytiques ou d'antidépresseurs chuteraient vertigineusement. Mais, chut, n'en parlons pas ; c'est mal vu !

6. Surtout ne cherche pas à t'améliorer


Ne cherche pas à changer les circonstances de ta vie, ne cherche pas ce qui ne t'est pas familier. Si tu as choisi de faire des études qui finalement ne te plaisent pas, ne pense pas à changer. Reste dans la même voie. Ne prends pas les occasions et ne cherche pas les possibilités offertes par la vie pour être mieux. Fais uniquement ce que tu veux, quand tu veux. La discipline, ça fait mal, c'est trop contraignant. Et comme dit Sartre : « l'enfer, c'est les autres » ; en quoi est-ce que moi je me remettrais en question ? Finalement les plus heureux sur terre sont ceux qui ne pensent qu'à eux. Bon d'accord ils sont un peu seuls et pas si en paix que ça à l'intérieur…

7. Évite de consacrer du temps à ta spiritualité


Ne te pose pas de questions sur la vie après ta mort, ni quel est le sens de ta vie. Regarde tous les moutons autour de toi, ils vivent bien ; ça sert à quoi de se poser ce genre de questions ? Laisse les autres y réfléchir à ta place et laisse le système imposer sa vision des choses à la masse. Ne pense pas à Celui qui t'a créé. Existe-t-il seulement ? N'imagine surtout pas qu'il t'aime et veut te connaître…

Réussir vos examens et vos concours


De plus en plus d'étudiants me demandent de répondre à leur besoin réel : la réussite des études, l'obtention d'un diplôme.

Est ce que la mémoire a un rôle utile pour obtenir un diplôme ou un concours ? Oui, mais... Quand un étudiant, quel que soit son âge, cherche des techniques pour développer sa mémoire, c'est bien souvent pour demander une méthode de travail.

La mémoire n'est rien sans méthode. Il ne s'agit pas simplement de mémoriser quand on étudie pour un concours ou un diplôme. Il s'agit de s'organiser, d'être efficace, de trouver le temps pour travailler... et apprendre. Apprendre, est-ce pareil que mémoriser ? Oui en non. Oui car pour apprendre il faut mémoriser des informations. Mais l'apprentissage sous entend une modification comportementale. C'est donc plus abouti qu'une simple mémorisation.

Apprendre demande du temps. De la répétition. De la méthode.

Il faut savoir se fixer un objectif, se motiver, s'organiser, étudier, mémoriser, réviser, gérer le stress, être paré le jour J. C'est un ensemble, une méthodologie qu'il faut savoir appliquer au plus vite... En tout cas, avant l'examen !

L'un des problèmes récurrents, c'est la motivation. Que sait-on de la motivation ? Comment l'éduquer ? Il faut savoir qu'il existe principalement deux formes de motivation : la motivation intrinsèque et la motivation extrinsèque. Dans le premier cas, vous êtes motivé par passion. Vous ne demandez rien en échange, vous agissez par plaisir. Dans l'autre cas, vous êtes motivé par la carotte, la récompense qu'il peut y avoir au bout : le diplôme etc...

Dans l'idéal, il faudrait provoquer la motivation intrinsèque pour toutes vos matières. Il y a deux façons d'agir. Vous pouvez vous lancer un défi personnel, par exemple tenter de battre votre score en mathématiques "pour le fun", par défi personnel. Mais vous pouvez aussi trouver du sens à ce que vous faites. Bien souvent, pour certaines matières, nous avons des difficultés à trouver du sens : "à quoi ça sert ?", "pourquoi je dois résoudre ce problème ?".

Dans le cas des mathématiques, vous pourriez par exemple prendre conscience que résoudre une équation, un problème, vous entraîne à devenir plus intelligent. Plus performant. Plus fort. Car c'est bien par l'entraînement que vous deviendrez quelqu'un de différent, que vous atteindrez vos objectifs...

le tout n’est pas d’être beau mais de se sentir beau


Que vous soyez un étalon d’1m90 . Un nain d’1m40 ou tout simplement un homme communément appelé normal comme la majorité de la population. Il y a une donnée fondamentale que tout bon séducteur ou homme qui se respecte ou qui aspire à briller doit savoir. Nous le savons tous en la matière. Une femme recherche un géniteur. Un reproducteur. Pas un acteur d’une serie B. Mais un homme capable de lui présenter sur le tapis de la course à la descendance toutes les caracteristiques d’un protecteur en mesure de lui garantir elle et sa portée (enfants) les conditions d’une vie idyllique. Sur ce point. Rien n’a réellement changé depuis l’an 15 avant J et les courses de chars au colysé de Rome. Avé César ! Survive et réproduire : ainsi va la vie.

Aimez-vous

Revenons justement à notre homme moderne qui dans sa quête au succès cultive une visible approximation en matière de beauté. Soral nous disait : « le tout n’est pas d’être beau mais de se sentir beau ». Vous voyez ou je veux en venir. S’il y a une donnée sur laquelle nous sommes tous égaux, petits, grands, fils de la caissière, ou fils du banquier, une donnée sur laquelle vous n’avez aucune excuse et je vous parle droit dans les yeux : c’est sur cette notion fondamentale de perception intérieure de beauté. Je m’explique. J’ai vu dans ma vie des hommes à la plastique très avantageuse. Le « bel homme » pour reprendre l’expression préférée des femmes qui entre parenthèse ne veut rien dire si ce n’est qu’il réponde aux cahiers des charges de blanche neige: être grand et jouissant parfois d’un largeur d’épaule de 66 cm inspirant dans l’inconscient imaginaire une vague idée de protection et de sécurité. (Notez qu’un petit est rarement qualifié de bel homme) Cela me rappelle justement une émission américaine hautement intelligente type Lovestory , ou une femme au Qi digne d’une autruche australienne s’esclaffait de la beauté éblouissante d’un candidat qu’elle n’avait vu que… de dos et lâchant un « c’est vrai qu’il est mignon ».C’est dire le niveau. Passons ce passage et revenons à notre bel homme. On l'appellera Nassim :), non plus sérieux Fouad?.. ok Nassim c'est bon :D, qui bien content d’avoir un corps d’Apolon est infoutu de s’aimer ou d’avoir une quelconque estime de lui-même. Moralité, se sentant mal dans ses pompes, jouissant d’une mauvaise estime de lui même, mal fagôté, fini par en dégager autant qu’un pet de coccinelle du guatemala .

A contrario, Abdel rien d’une gravure de mode, s’aime et rayonne intérieurement de toute sa superbe. De part sa connaissance intérieure, sa générosité, sa spontanéité, l’amour de son prochain, sa lutte pour la vie. Oui Soral encore lui disait « les femmes recherchent un homme qui lutte pour survivre ». Abdel en plus d’avoir une gueule donc lutte pour survivre. Il a tout compris. Chaque jour étant un combat pour lui et il lutte pour garder sa place dans cette lutte acharnée de la compétition terrestre. La synthèse de cette envolée lyrique ? Inutile de prétendre au rang de Pick up artist ou d’apprenti séducteur si vous pensez masquer votre dégoût de vous-même par un costume cerruti payé rubis sur l’ongle ou je ne sais quel artifice gagné chez Club Med gym. L’homme qui plait aux femmes et l’homme qui s’aime. Point. Qui se connaît. Qui est généreux. Fier de lui. Qui est heureux d’exister. Je n’ai pas de recette miracle pour vous faire devenir beau mais une chose est certaine. Si vous voulez aimer les femmes et être aimé, réconciliez-vous et acceptez vous.

Quelques gestes pour vous aimer :

Vous valez autant que les autres

Réconciliez-vous avec vous-même.

Faites la paix. Acceptez.

A partir d’aujourd’hui, vous êtes beau et vous le savez .

Mettez-vous au centre des projecteurs.

Affirmez vous.

Montrez-vous.

Soyez généreux et spontané.

Donnez.

Souriez Faîtes le bien dans votre vie et autour de vous.

Battez-vous pour être le meilleur.

Allez au combat.

C'est quoi déjà.. OBSESSION AMOUREUSE?


Invention moderne ? Pas du tout. L'écrivain français Stendhal l'avait lui-même qualifié à l'époque du syndrome de "cristallisation". A savoir une obsession maladive à l'égard d'une femme la plupart du temps idéalisée. Une obsession régulièrement condamnée au fiasco, accompagnée de souffrances plus au moins aigües et autres projections imaginaires.

En 1822, Stendhal la définissait ainsi : « Ce que j'appelle cristallisation, c'est l'opération de l'esprit, qui tire de tout ce qui se présente la découverte que l'objet aimé a de nouvelles perfections ». Dans les sentiments amoureux, la cristallisation peut ainsi désigner un coup de foudre.

La cristallisation dans le meilleur des cas peut être passagère mais également dériver sur plusieurs années vers la forme d'une fusion malsaine, égoiste type névrose narcissique. L'individu victime de la cristallisation développe alors une fascination passive et en sens unique en direction de la femme idéalisée. Il s'invente alors tout un tas de rêveries propre au timide : il pense lui plaire intensément (bien entendu elle ne sait même pas qu'il existe), il projete l'avenir avec elle, écoute des disques chez lui en pensant à elle, lui écrit des poemes sans lui envoyer... Un état de pur passivité.

Dans le meilleur des cas, le reveil est douloureux. Au mieux, sa prétendue promise part sous son nez par un plus opportuniste que lui. Au pire des cas, la dépression ou des drames arrivent. La cause principale de la cristallisation ? C’est souvent la méconnaissance des femmes, méconnaissance des mécanisme de séduction et clairement de la féminité en général. Un manque de maturité sociale, un amalgame avec l’amour maternel, et autres causes remontant à la petite enfance (enfant roi, absence du père, surprotection, égo démesuré, croyances limitantes tenaces, déchirement à la suite d’un divorce….).

La solution pour gérer une cristallisation? Arriver à se réveiller par soi-même et revenir sur terre. Revenir à la réalité et admettre s'être trompé pour rebondir ailleurs sur d'autres femmes plus disponibles. C'est souvent et dans la plupart du temps : la solution idéale.